mercredi 24 février 2016

J’ai rendez vous avec Stuart A Staples

En ce Mercredi GeneriQ, une pluie fine balaye timidement 
le parvis du grand théâtre de Dijon,
Il est 15 h et les passants se pressent dans les ruelles de Dijon. 
J’entre dans ce majestueux théâtre à l’Italienne, dans le hall, 
les affiches GeneriQ semblent avoir poussé telles des champignons laissant impassibles les hôtesses d’accueil. 

Il est 15h15 et l’on me conduit dans le réfectoire du théâtre, espace sans vie, mais j’y ai rendez vous avec Stuart. Il est là réservé, bienveillant, souriant presque intimidé d’être interviewé, il est seul sans attaché de presse ou autres parasites, gentil, attentionné et semble bien loin d’un stress qu’il pourrait afficher, ce dernier entamant avec cette première date une longue tournée européenne dans son luxueux et immense tour bus qui trône devant le théâtre. 

Il est 15h30 et Stuart semble marquer une pause dans cet entretien, un regard profond, triste, lorsqu’on lui évoque sa chanson avec la regrettée Lhasa.  Sa grande posture infranchissable semble marquer une faille. Il reste un homme touché par les évènements de la vie et du Bataclan mais préfère parler du monde que de la France. 

Il est 15h40 et au détour d’une question, un sourire s’affiche enfin, ces yeux verts pétillent à l’idée de jouer au centre historique de notre ville loin des périphériques sans âme semble-t-il nous dire. 

Il est 15h45 Stuart esquisse un sourire coquin lors de la dernière question de cette interview sans fausse pudeur. Ce dernier doit dessiner un croquis représentant sa musique. J’avais lu que Stuart dessinait et peignait en plus de réaliser des courts métrages et de jouer sa belle musique. Mais le voilà taquin et d’un geste vif, il attrape un stylo rouge qui s’efface derrière son immense main pour gribouiller 4 traits à la va-vite. 

Comme pour nous rappeler que la vie est un jeu et que rien n’est sérieux ou presque, et qu’en bon anglais on ne se refait pas. En fond sonore ses musiciens règlent les mélodies du concert, lui, impassible, reprend les escaliers de sa loge croisant par hasard   Christine Ott arrivant de son Alsace en Clio blanche « chargée à bloc » pour reprendre ses mots. Qu’on se rassure, demain ils repartiront ensemble pour cette tournée, Christine Ott assurant les  premières parties des Tindersticks. 

Il est 15H50 la pluie à redoublé mais j’ai rencontré Stuart, la nuit peut venir, 
le concert ne peut être que magique.




lundi 15 février 2016

Winter 2016, 3 albums Folk......





Bonnie Prince Billy / Pond Scum / Domino
Stranded Horse / Luxe / Talitres
Tindersticks / The Waiting Room / City Slang

lundi 1 février 2016

Sof Sof in la Neige



Avec mon ami Régis de St Amour avec qui je partage l'amour des compilations Whizzz,
Nous vous avons selectionné 21 titres de notre parfait Hiver 2015/2016
Une belle sélection de notre émission radio Whizzz & Love

la compilation est en téléchargement gratuit ici
Bonne écoute

Sof Sof In La Neige